Accompagnement
Communication
Édition
Conseil d'Administration
Illel Kieser el baz, Directeur
Christelle Langlet, psychopraticienne, Coordinatrice des accompagnements
La relation humaine est, depuis toujours, au centre de mes choix professionnels.
Vendeuse à 20 ans, j'aime déjà le contact, le lien à l'autre mais je veux aller plus loin en prenant soin d'autrui. Je choisis donc de reprendre mes études pour devenir infirmière.
En plus de 10 ans d’exercice dans des services de psychiatrie et addictologie, je perçois combien l’écoute et la compréhension de l’individu dans sa globalité et sa singularité sont de véritables outils pour permettre à une personne de retrouver bien-être et autonomie. Mais ce n’est pas suffisant, la reconversion devient une évidence... Je reprends à nouveau mes études.
Je suis titulaire d'un Master 2 de psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé (parcours Psychothérapies). Je suis formée aux Thérapies Cognitives et Comportementales (TCC) à la méditation pleine conscience et je m'inspire de la psychologie positive. Mon cursus et mes expériences m’offrent une connaissance précise du fonctionnement psychique me permettant de proposer des accompagnements psychologiques adaptés à la situation.
Dans mon mémoire de recherche de fin de Master je souligne l’intérêt de la méditation (mindfulness) comme outil thérapeutique chez les personnes victimes de violences. Je fais mon étude au sein du CAVACS-France et découvre les bénéfices de l’accompagnement proposé par cette association. J’ai donc décidé de m’y investir.
Tout en développant mon activité de consultation de psychologie en cabinet (à Venerque, au sud de Toulouse) et en visio, je suis aujourd’hui coordinatrice de l’équipe accompagnement et forme les nouveaux bénévoles de l’association et les personnes ressource.
Dans tous les contextes de ma pratique, la bienveillance, la confiance mutuelle et l’adaptation spécifique à qui vous êtes sont mes leitmotivs.
Mathilde Trolez, psychologue clinicienne
Voici enfin la petite présentation que vous m’aviez demandée.
Après avoir effectué mes études à l’Université Paris 7, j’ai eu le besoin et l’envie de quitter Paris. J’ai donc passé un peu plus d’une année à Montpellier et une fois le sud adopté j’ai décidé de rester y vivre. J’ai emménagé à Toulouse en juin 2014.
Malheureusement trouver un emploi de psychologue en institution s’avérant très compliqué, j’ai saisi l’opportunité qui s’est présentée à moi d’être enseignante suppléante durant quatre années scolaires. Bien que ce travail soit passionnant, il n’a pas réveillé de vocation en moi et j’ai continué de vouloir exercer mon métier de psychologue.
Durant l’année scolaire dernière j’ai eu l’occasion d’être psychologue de l’Education Nationale (maternelle et élémentaire) mais cela reste bien différent de ma formation de psychologie clinique.
Concernant le milieu associatif j’ai été il y a de cela plusieurs années bénévole aux « Blouses Roses » à l’hôpital Saint-Louis à Paris dans le service d’hématologie enfant. Je passais du temps avec les patients dans leur chambre avant l’heure du couché. J’avais énormément apprécié ces quelques mois.
Ici à Toulouse j’étais jusqu’à récemment bénévole au Refuge ou j’accompagnais les jeunes dans différents moments de leur quotidien et leurs interrogations.
Christine Preljocaj, psychologue clinicienne
Après une carrière dans les domaines des ressources humaines et de l’accompagnement en transitions professionnelles, j’ai souhaité revenir à la source de ce qui me semble l’essence de l’être. Je suis psycho-praticienne et diplômée d’un master 2 de psychologie clinique et psychopathologie avec une approche systémique et familiale. Ma pratique est avant tout intégrative, c’est-à-dire qu’elle s’appuie sur différentes approches : La pluralité des pratiques et l’expérience acquise me permettent, en accord avec vous, d’utiliser les outils qui me semblent les plus adaptés à votre problématique, comme la danse-thérapie, l’énergétisation sur la base des chakras (chakras utilisés en médecine chinoise), l’EFT. Je peux vous accompagner également lors de transitions professionnelles de par mon expériences en entreprises spécialisées dans ce type d’accompagnement.Je propose de vous accompagner dans les divers domaines où vous ressentez un besoin d’évolution et d’apaisement aussi bien dans votre vie personnelle que familiale et/ou professionnelle.Je vous accompagne dans toutes les étapes de la vie avec une spécificité de prise en charge non médicamenteuse basée sur un accompagnement relationnel adapté à l’unicité des personnes à tous les âges de la vie ( formation avec une spécificité sur les personnes âgées).
Sabah Zemouli-Riboulet, psychologue clinicienne
Je suis franco-algérienne , j'ai 2 grands garçons et une petite fille depuis maintenant 8 mois . Je suis psychologue et j'ai pris une retraite bien méritée en avril 2021, mais je continue à m'intéresser à cette discipline qui me passionne surtout lorsqu'elle est ouverture et humanisme. Cependant j'effectue encore des vacations en tant que formatrice pour le compte du CNFPT afin de faciliter l'intégration des nouveaux agents, une meilleure adaptation à leur poste de travail, ainsi qu'une bonne appropriation de leurs potentiels et compétences. J'ai exercé plusieurs années comme psychologue du travail dans le domaine de l'accompagnement, de l'insertion et de la formation professionnelle auprès de différentes institutions et de publics. J'ai bien sûr assez régulièrement suivi des formations ,des perfectionnements, des séminaires dans les domaines de la psychologie et de ses différents courants. Plus récemment je me suis formée en EMDR, j'ai ainsi mis en pratique et eu des supervisions depuis 2018 . Voilà pourquoi et comment je me suis intéressée à l'activité de CAVACS. La prise en compte par différents professionnels des demandes de personnes ayant subies des violences qui restent inscrites dans leurs différentes mémoires, sensorielles, émotionnelles, cognitives et somatiques, me parait être une urgence humanitaire et médicale.
Sihem Hattab, psychologue clinicienne
Étudiante étrangère se spécialisant dans le domaine de la prévention en psychologie. J'ai accomplis mon stage de fin d'étude au CAVACS-France – Master 2 de psychopathologie et psychologie de la santé, et espère y trouver une vocation. Actuellement, bénévole au Cavacs-France, j'accompagne des mamans aux prises avec la justice, des mamans privées de leur enfant après des signalements de maltraitances subies par leur enfant. En dehors de mon profil professionnel, je m'intéresse à l'écriture, la poésie en particulier et récemment à l'intelligence artificielle.
Florence Latapie, psychopraticienne
Vola Cabedoche, psychologue clinicienne
ADELI – 319340337
En reconversion vers le métier de psychologue depuis 2016, j’ai, toujours par le biais de mon orientation professionnelle, cherché à participer au mieux-être des personnes. C’est autour de cette motivation initiale et afin de donner encore davantage de sens à mon métier qu’aujourd’hui je me forme à soutenir, écouter et accompagner ceux qui en ont le besoin. Orientée vers une approche intégrative, je suis le master 2 de Psychothérapie de l’université Jean Jaurès à Toulouse, qui me semble être un parcours ouvert à l’acquisition d’outils et de réflexions permettant de s’adapter aux besoins des patients.
Très sensible à la détresse psychologique liée au traumatisme, je suis persuadée de la nécessité d’une prise en charge psychologique et de la prévention liées aux violences à caractère sexuel. Ainsi, j’oriente mes choix de recherche, de formation et d’apprentissage sur ce sujet et aspire à pouvoir suivre une formation en EMDR une fois mon titre de psychologue clinicienne obtenu.
Afin d’accompagner au mieux les autres, j’entretiens mon propre bien-être en pratiquant le yoga, la médiation, ainsi que des activités créatives (telles que la couture, l’écriture et le dessin) tout en profitant au maximum de moments privilégiés avec ma famille et mes amis.
Délia Viatgé, psychologue clinicienne
ADELI – 319340576
Souhaitant me former à la santé mentale et aux prises en charges des troubles psychiques, je suis venue à Toulouse pour réaliser l’ensemble de mes études de psychologie. Aujourd’hui diplômée du master Psychothérapies, je souhaite continuer à me spécialiser dans l’accompagnement de personnes souffrant de psychotraumatismes. Après avoir réalisé mon stage de fin d’étude au sein du CAVACS, j’ai décidé de maintenir mon engagement en tant que psychologue bénévole. Engagée dans plusieurs associations, j’aime donner de mon temps pour des causes qui me tiennent à cœur.
Ancienne grande passionnée de gymnastique, je pratique aujourd’hui la méditation et plus occasionnellement le yoga et la course à pied. Petite amatrice de photographie, j’apprécie particulièrement les couleurs et contrastes des couchers de soleil. Curieuse de nature, j’aime découvrir de nouveaux lieux, apprendre de nouvelles choses et expérimenter de nouvelles activités de loisirs.
Lison Marion, psychologue clinicienne
Originaire de Lyon, je suis venue faire mon master de Psychologie Interculturelle à Toulouse. En dehors de mes études, je suis passionnée par la danse. J’ai en effet fait de la danse contemporaine et modern jazz pendant une dizaine d’années. Cette année je suis des cours de danse-théâtre, de l’improvisation à partir de caractéristiques théâtrales.
A côté de la danse, la musique est au centre de ma vie. J’ai pris des cours de flûte traversière pendant cinq ans, d’orchestre, de chorale. J’aimerais maintenant apprendre à jouer du hang drum et du piano. J’écoute tout le temps de la musique et notamment des musiques du monde (grecques, latines, indiennes, africaines, etc…), des musiques techno, du classique ou de la funk entre autres.
Je pratique le yoga depuis le premier confinement ainsi que la méditation, j’écoute également des musiques méditatives, spirituelles. J’aime beaucoup le thé, les plantes et la nature.
J’aime voyager autour du monde seule ou à plusieurs. J’ai notamment fait un tour d’Europe en train, un road trip en van et un voyage humanitaire au Sri Lanka. J’ai pour projet de partir faire un road trip en Amérique du Sud et poursuivre mon projet humanitaire en Inde après mes études. J’aimerais travailler un jour à l’étranger.
J’aime l’art sous toutes ses formes : arts de rue, cirque, performances, théâtre, peintures, street art, sculpture, écriture, cinéma, etc. J’aime aller au musée et voir des expositions engagées. Je m’intéresse aux lectures sociologiques, féministes, queers, ethnologiques et psychologiques.
Après un investissement pour les personnes en situation de grande précarité et dans le handicap, je commence à m’engager dans d’autres causes qui me tiennent à cœur. Ainsi je m’intéresse notamment aux causes féministes intersectionnelles, discriminations envers les minorités, LGBTQIA+ ainsi que pour l’écologie.
Margot Pereira - Psychologue de la socialisation stagiaire M1
Je suis étudiante en Master 1 de Psychologie de la socialisation : Recherche-Intervention à l’université de Toulouse Jean-Jaurès. Je me suis intéressée à la problématique des maltraitances sexuelle sur les enfants et les adultes En 2020 à la suite de nombreux reportages, d’articles et
d’ouvrages qui faisaient état de ce problème de santé publique. Suite à cela j’ai effectué un travail de fin d’étude sur les conséquences des agressions sexuelle sur le développement socio-affectif des mineurs. C’est donc cela qui m’a poussée à intégrer l’association l’Enfant Bleu en tant que bénévole écoutante, et l’association CAVACS en tant que stagiaire à Toulouse de manière à me
former à l’accompagnement des victimes de violences.
Depuis cinq ans je travaille à côté de mes études, ces expériences professionnelles et universitaires m’ont permis de saisir toute l’importance de la communication, l’entraide et la collaboration dans une équipe.
Clara De Oliveira Goncalves - Psychologue interculturelle stagiaire M1
Je m’appelle Clara De Oliveira Gonçalves et je suis étudiante en Master 1 - Psychologie Interculturelle de l’Université Toulouse Jean Jaurès. Cependant, dans cette présentation je ne vais pas vous parler de mon parcours scolaire ou même de mon projet de mémoire. Je vais partager avec vous mes passions et un petit peu de mon histoire. Je suis née en France mais je suis d'origine portugaise car ma mère est née et a vécu là-bas pendant la moitié de sa vie. Je parle couramment portugais et c’est une langue que je trouve empreinte de musique et de passion. Au Portugal, dans notre village, les portes ne sont pas fermées et le voisin peut prendre une pomme et partir sans demander son reste. Ce que nous ne pouvons pas faire en France. Dans ce pays, il n’est pas seulement question de chaleur parce que le soleil est souvent présent mais parce que les personnes n’hésitent pas à vous enlacer. C’est chaleureux.
Concernant mes passions, malgré le fait que j’ai toujours été intéressée par la psychologie, l’art est ce qui me rend vivifiante. Depuis aussi loin que je peux m’en souvenir, j’ai toujours aimé dessiner et peindre. Je n’ai jamais cessé car c’était l’un des meilleurs moyens de m’exprimer. Ce que j’aime particulièrement dans l’art, c’est l'aquarelle. J’adore faire des croquis des bâtiments et les mettre sur une nouvelle feuille blanche avec de la couleur.
Elsa Pastor, Directrice de la Communication
Actuellement en MBA marketing digital/communication digitale/médias sociaux à l’ISEG TOULOUSE, j'ai effectué une reconversion en 2020 pour passer du droit au marketing digital et la communication digitale.
Je suis actuellement en alternance chez Emprunte mon Toutou, en tant que chargée de communication digitale et marketing digital.
Je suis en parallèle directrice du pôle communication et coordinatrice de cette branche dans une association d’aides aux victimes de violences sexuelles, CAVACS-France. J’octroie aussi une aide du côté du service juridique vis à vis de mes anciennes études.
Léa Lallinec, Responsable de publication de la Newsletter
Yasmine Frich, Coordinatrice du Projet Jeunes
C’est à 2 mois que j’ai quitté le sol français qui m’a vu naître, pour en fouler un nouveau. Le Maroc, cette terre qui m’a vu apprendre à marcher, tomber, parler, rire, pleurer et qui m’a donné toutes les armes pré-requises pour combattre les aléas de la vie, de ma vie. Issue d’une union mixte, j’ai pendant longtemps détesté le Maroc pour le rejet dont j’étais victime. Jeune, c’est à l’école qu’on rencontre les premières formes de rejets, qu’on entend pour la première fois, les mots qui font mal, qui collent à notre peau, “ Fille de colon “, “ Blanche “, “ Française “, “ Voleur de richesses “ Et si on ne les entend pas, les regards sont parfois un hurlement plus fort que celui qui sort des tripes. On peut donc imaginer, en lisant ces mots, que mon intégration a été très compliquée.
J’ai donc, jusqu’à mon plus lointain souvenir, toujours cherché à renforcer le lien qui me gardait rattaché à la France, je cristallisais cette Terre, dont la beauté me paraissait onirique, fantasmée, irréelle. Une Terre de liberté où toutes formes de pensées étaient acceptées, tolérées, légitimes et entendues ? Le paradis ! En rentrant chez moi, tout était là pour me rappeler la France, les chaînes de télévision françaises, des magazines français, des plats français, des livres d’écrivains, écrivaines, français(e)s. J’en suis venu au point où j’en ai voulu pendant très longtemps, à mes parents, de m’avoir ramené dans un pays, où je n’avais aucunement ma place et dans lequel je voulais encore moins, la créer.
Mon parcours académique a commencé sur les bancs du système éducatif marocain, et je n’en retiens qu’une seule chose, un traumatisme. Assez anecdotique, l’éducation islamique est un cours obligatoire jusqu’au lycée, et mes premiers cours m’ont mis une vérité cuisante sous le nez, j’étais tout sauf une bonne musulmane et ma vision future de moi-même l’était encore moins. Mais je voulais être comme les autres, à cet âge-là, on ne cherche pas à être différent, on veut être comme tout le monde, un lambda, pas une paria, alors je me suis construit une identité en désordre, rafistolée de part et d’autre, ne tenant à rien mais assez solide pour prétendre pendant des années, être tranquille avec moi-même.
L’article complet à télécharger (pdf)
Laura Villemain, anthropologue
Actuellement, membre de l'équipe d'accompagnement, je participe au Projet Jeunes et je produis des articles liés aux thématiques de genre.
Alexane Mincher
Cette attention particulière porté aux médias est d’ailleurs, je pense, une des raisons qui m’a poussé à vous contacter pour prendre par à ce projet de podcast. Par ailleurs, les sujets qui tendent à être traités me paraissent des plus pertinents. Dans une société post-MeToo, je ne peux que considérer l’importance de briser les tabous et le silence qui règne, de traiter des sujets tels que l’importance du féminisme, la nécessaire destruction du patriarcat, l’émancipation des femmes, les violences sexuelles, notamment chez les mineurs… La prise de parole est importante, elle est un outil indispensable dans notre lutte. Ce projet me tient donc à cœur car j’ai non seulement envie d’aider à sensibiliser un maximum de personnes sur ces questions mais également de partager, avec d’autres femmes, nos problématiques, nos vécus, nos peurs, nos envies.
A ce titre, il me semblerait pertinent d’envisager ce podcast comme un véritable recueil à témoignages de personnes victimes de violences sexuelles et sexistes, qui, d’une part, pourraient aider les victimes (dans un esprit de soutien, solidarité, déculpabilisation), et d’autre part, rendre compte du constat déplorable mais réel que ces violences représentent.
Il serait par ailleurs intéressant de traiter de sujets précis, découlant du patriarcat, tels que le mouvement masculiniste ou encore les notions de « mansplaining » et de « malegaze ». Le traitement de sujets d’actualités pourrait également être pertinent. Je pense notamment aux différents mouvements qui peuvent intervenir sur les réseaux sociaux ou bien encore à des lois et affaires juridiques apportant des évolutions sur les violences sexuelles et sexistes (parfois critiquables à bien des égards) ou sur les droits des femmes (qu’il ne faut malheureusement jamais prendre pour acquis).
Enfin, je pense qu’une touche de légèreté et de culture pourrait être apportée dans les épisodes par des recommandations de livres, de séries, de film. Cela permettrait de mettre en avant à la fois des sujets pertinents mais aussi le travail de femmes talentueuses.
Enora Jourdan
Désireuse de me sentir utile et de participer à un projet qui aurait du sens, le Cavacs-France me permettrait d’agir en congruence avec cet objectif. De surcroit, dans notre société capitaliste qui tend à l’individualisation des comportements, générer un lien associatif me semble des plus importants. Votre association et votre idée de podcast m’a particulièrement intéressée. Étant moi- même, consommatrice de ce genre de média, je suis consciente de leur portée pédagogique.
Étudiante en deuxième année de sociologie, les questions relatives au genre m’intéressent énormément. A travers, ce podcast, il serait intéressant de faire entendre des témoignages de victimes de violences sexuelles et sexistes, l’objectif étant de sensibiliser un maximum de personnes sur ce sujet, et ainsi briser l’omerta qui l’environne. De plus, ce podcast pourrait permettre de rendre intelligibles certains concepts féministes (tel que le masculinisme, le « manspreading » les féminicides, la misogynie intériorisée), ou bien certains courants de pensée (nécessité de déconstruire le genre, importance de remettre en question les normes…). Par ailleurs, grâce à mes études, j’ai l’occasion de lire divers livres et essais sur ces problématiques. Je serai donc en mesure de les partager avec les personnes intéressées.
Lena Demoulin
Actuellement étudiante en troisième année de droit à l'université de Toulouse, mon parcours est enrichi. En effet, j'ai effectué une partie de l'école élémentaire et du collège à l'Ecole française internationale de Zagreb en Croatie. Plus tard, je suis revenue habiter en France avec ma famille et j'ai donc effectué mes trois années de lycée au Pensionnat du Sacré-Coeur à Reims en ayant obtenu mon baccalauréat général en filière littéraire. Suite à celà, je me suis lancée dans les études et j'ai été admise à l'European School of Law (ESL) à Toulouse. Ainsi, grâce à cette école, qui est une composante de l'Université de Toulouse Capitole 1, j'étudie un double-diplôme en droit français et anglais. Grâce à cette formation j'ai étudié pendant mes deux premières années de licence à l'Université d'Essex au Royaume-Uni afin d'y étudier le droit anglais. Ma mobilité universitaire à pris fin et j'étudie désormais, depuis septembre 2021 à l'Université de Toulouse en troisième année de licence.
Guillaume Drigout, Webmaster
En reconversion professionnelle après 10 ans dans la restauration, je m'oriente vers le développement web depuis bientôt 3 ans. J'ai validé une formation de développeur/intégrateur en réalisation d'applications web, et souhaite continuer mon apprentissage avec une formation sur le framework symfony. Afin d'acquérir de l'expérience, je travaille sur plusieurs projets professionnels personnels, et voulait rajouter à cela une expérience d'équipe. En trouvant l'offre de webmaster bénévole pour le Cavacs-France, j'ai tout de suite souhaité me présenter en tant que candidat afin d'avoir la chance d'acquérir de l'expérience dans mon domaine tout en oeuvrant pour une cause essentielle. En effet, le milieu associatif et l'aide aux personnes en détresse représente à mes yeux un besoin essentiel dans la société complexe qu'est la nôtre. La compréhension des dérives comportementales menant à des agressions à caractère sexuel et l'aide aux victimes est nécessaire, et il est important que des associations comme le Cavacs-France apportent des éléments de réponse, et d'action aux préjudices subits. Pouvoir apporter ma pierre à cet édifice représente beaucoup à mes yeux.
Jade Frances
Voir sa présentation dans la rubrique Accompagnements. Jade contribue également au développement de la Mission Jeunes.
Nadia Kaïd-Gherbi
J’ai décidé de rejoindre le Cavacs en prêtant ma voix pour les podcasts. La violence sexuelle et psychologique sont des sujets qui me tiennent à cœur pour les avoir vécus à maintes reprises dans ma vie de femme. J’ai réussi à me libérer en partie par l’écriture et un travail psychologique après des années d’errance et deux burn-out.
Prendre la parole pour informer est une forme de réparation.
J’ai vécu un peu à l’étranger et j’ai travaillé dans les domaines du tourisme, des langues et aujourd’hui dans la vente.
Pour mon équilibre, j’adore faire des randonnées à la campagne et me ressourcer au bord de l’océan! Je m’accorde aussi toujours des temps de création : couture, écriture, jardinage…tout en écoutant des podcasts.
Julie Junquet
Originaire du Sud-Ouest et installée depuis 6 ans dans la région lyonnaise, Julie Junquet est passionnée de dessin depuis l’enfance. De nature curieuse, elle s’intéresse de près à d’autres techniques : peinture, linogravure...
Certaines expériences l’ont très tôt amenée à s’intéresser à la défense des victimes, notamment les enfants. Souhaitant lier sa pratique artistique à l’accompagnement des personnes souffrant de psychotraumatismes, elle se diversifie aujourd’hui afin de devenir art-thérapeute certifiée.
En dehors du CAVACS-France, Julie a collaboré avec l’Enfant Bleu, une association lyonnaise spécialisée dans l’aide à l’enfance.
En 2019, elle s’installe comme auto-entrepreneure et crée l’Atelier Jonquille, sa boutique en ligne, qui regroupe ses propres créations. Art Thérapeute diplômée, Julie Junquet s'intéresse particulièrement à un public jeune, dans le but d'améliorer la prévention des violences auprès des enfants, et ce, dès le plus jeune âge. C'est pour cette raison qu'elle continue à se former continuellement. Des projets liés à la violence dans le secteur sportif et à la sensibilisation contre les troubles alimentaires sont en cours.
Léa Lallinec
Je suis aussi chargée de la mise en page des guides du Cavacs-France, illustrés par Julie Junquet. Vous pouvez en avoir un aperçu sur le site des éditions Lierre et Coudrier